Karaoke, ciment des generations
Comme a chaque fois que l'on sort avec l'entreprise, on va au karaoke. Bon, je n'entre pas dans les détails du karaoke. Quand c'est des personnes qui chantent bien (et en Chine, il y en a beaucoup vu que c'est un de leur hobby principal... ils ont de l'entraînement !!!), c'est bien, ça fait découvrir des chansons. Quand c'est des personnes qui chantent mal, c'est soit drôle, soit source de migraine, selon le degré de nullité et la sonorité des beuglements.
Ce qui me motive pour ce billet, c'est qu'il y a un nouveau dans notre boîte, un type qui, je dirais, a la cinquantaine (mais j'arrive pas à donner un âge aux asiatiques... bon, en tout cas il a plus de 45, je crois !). Et ben au karaoke, le fossé des générations disparaît. Ce type aux cheveux gris chantant en duo avec une des minettes de la boîte sur un des derniers tubes du moment (le type qui t'aimes comme le rat aime le maïs, entre autre... ;D ), ça m'a fait quelque chose. Peut être que dans la vie ils n'aiment rien de semblable à cause du fossé des générations, mais au karaoke, toutes ces différences sont mises de côté, comme une parenthèse.
Bon, bien sûr, il y aura toujours des "vieux" qui ne connaissent pas les musiques de jeunes, et inversement, quoi que je trouve que les jeunes chinois connaissent mieux leurs classiques. Je vois mal un jeune de 15 ou même 25 ans chanter Brassens ou Edith Piaf (disons que c'est plus rare) mais en Chine, je pense que la majorité des jeunes peuvent chanter du Teresa Teng (邓丽君) ou d'autres chanteurs de la précédente génération même s'ils n'ont rien à voir avec le chouchou du moment, Jay, qui rap aussi bien que ses compères occidentaux.
Je crois que c'est les "anti prix nobel" qui ont décerné un prix au Japonais inventeur du karaoke car c'est une bonne façon d'apprendre à tolérer les autres, ont-ils dit. Et ça rapproche aussi. Alors pourquoi bouder son plaisir ?
PS S'il y a des "fôtes", veuillez me pardonner, je n'ai pas de moyen de vérifier l'orthographe avant mercredi, date à laquelle je retourne au bureau... Enfin, je pourrais vérifier chaque mot dans le dico, mais bon... c'es les vacances, j'ai le droit d'être flemmarde !
Ce qui me motive pour ce billet, c'est qu'il y a un nouveau dans notre boîte, un type qui, je dirais, a la cinquantaine (mais j'arrive pas à donner un âge aux asiatiques... bon, en tout cas il a plus de 45, je crois !). Et ben au karaoke, le fossé des générations disparaît. Ce type aux cheveux gris chantant en duo avec une des minettes de la boîte sur un des derniers tubes du moment (le type qui t'aimes comme le rat aime le maïs, entre autre... ;D ), ça m'a fait quelque chose. Peut être que dans la vie ils n'aiment rien de semblable à cause du fossé des générations, mais au karaoke, toutes ces différences sont mises de côté, comme une parenthèse.
Bon, bien sûr, il y aura toujours des "vieux" qui ne connaissent pas les musiques de jeunes, et inversement, quoi que je trouve que les jeunes chinois connaissent mieux leurs classiques. Je vois mal un jeune de 15 ou même 25 ans chanter Brassens ou Edith Piaf (disons que c'est plus rare) mais en Chine, je pense que la majorité des jeunes peuvent chanter du Teresa Teng (邓丽君) ou d'autres chanteurs de la précédente génération même s'ils n'ont rien à voir avec le chouchou du moment, Jay, qui rap aussi bien que ses compères occidentaux.
Je crois que c'est les "anti prix nobel" qui ont décerné un prix au Japonais inventeur du karaoke car c'est une bonne façon d'apprendre à tolérer les autres, ont-ils dit. Et ça rapproche aussi. Alors pourquoi bouder son plaisir ?
PS S'il y a des "fôtes", veuillez me pardonner, je n'ai pas de moyen de vérifier l'orthographe avant mercredi, date à laquelle je retourne au bureau... Enfin, je pourrais vérifier chaque mot dans le dico, mais bon... c'es les vacances, j'ai le droit d'être flemmarde !